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Page:La Matinée libertine ou les Momens bien employés, 1787.djvu/122

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La Comtesse choquée.

Ah ! ah ! voici du nouveau.

Cécile liſant.

« Quand on n’a plus à ſouffrir de votre fierté, c’eſt par votre coquetterie qu’on ſe trouve en but à de nouveaux ſuplices…

La Comtesse.

Par ma coquetterie ! Fort bien. Quels ſont donc ſes crimes ? Ecoutons.

Cécile liſant.

« J’accours plein d’un eſpoir fondé ; mais j’ai la douleur de me voir devancé de quatre pas, par un de ces Frêlons importuns, à qui la nullité de leur être… et… et… Le reſte eſt un peu difficile à lire…