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Page:La Nuit merveilleuse ou le Nec plus ultra du plaisir, 1800.djvu/89

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ai tout prodigué : à peine peut-être me pardonnerez-vous un jour des plaisirs qui, après le moment de l’ivresse, vous abandonnent à la vérité des réflexions ? A propos, dites-moi donc ! comment avez-vous trouvé mon mari ? Assez maussade, n’est-il pas vrai ? Le régime n’est point aimable, je ne crois pas qu’il vous ait vu de sang-froid : notre amitié lui deviendrait suspecte. Il faudra ne pas prolonger ce premier voyage ; il prendrait de l’humeur. Dès qu’il viendra du monde (et sans doute il en viendra)… D’ailleurs,

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