Aller au contenu

Page:La Saga de Fridthjof le Fort, trad. Wagner, 1904.djvu/41

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
— 35 —

L’introduction est insignifiante. — Citons pour finir deux traductions que n’avons pu consulter, celle de Freytag, dans le « Centralorgan für die Interessen des Realschulvvesens, » (1884) et celle de C. Küchler, dans les « Nordische Heldensagen », aus dem Altisländischen übersetzt und bearbeitet. Bremen 1892.

E. Les épisodes les plus intéressants de la saga ont été racontés en français par l’éminent géographe et publiciste belge M. Jules Leclercq, dans la « Revue britannique ». Tome III (1893), pp. 49-62.

La saga de Fridthjof a fourni la matière à quelques œuvres d’importance secondaire. Il convient de signaler le récit, plein d’intérêt et de poésie, que Samsöe a publié à la fin du xviiie siècle (Efterladte digteriske Skrifter. Kjöbenh. 1795) et un essai dramatique dû à N. Sötoft (Romantiske Digte. Kjöbenh. 1815).