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Page:La Vrille - Le journal d’une masseuse, 1906.djvu/187

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LE JOURNAL D’UNE MASSEUSE

marbre ou d’une toile très belle ? Eh bien, pour Georges, c’est la même chose. Lui, c’est un marbre animé, un marbre splendide qui parle, qui marche et qui étudie la médecine…

— Allons, Juliette, ma petite, pas de blague, hein ! Tu es fille de salle, eh bien ! fais ton service, balaye, nettoye, borde les lits, prépare les pansements, enfin, travaille, et ne t’occupe pas des jeunes messieurs trop beaux, qui peut-être ont l’âme bien laide.