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Page:La belle Cauchoise, 1788.djvu/43

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pour nous un jour de fête la plus solennelle. J’eus rendez-vous à deux heures, je n’y manquai pas ; je trouve la sœur en chemise, le lait chauffait. — Allons, mon cœur, me dit-elle, fais-en vite autant que moi et mets-toi sur le lit. Je ne me fis pas prier, je fus déshabillée en un clin d’œil. Prudence ayant rempli le godmiché. — Enfin, dit-elle en sautant sur le lit, nous allons avoir le même plaisir que si nous étions homme et femme ; elle pose ainsi le docteur artificiel d’un côté dans mon con et se mit elle-même l’autre bout dans le sien ; serre-moi, ajouta-t-elle, embrasse-moi bien… pousse fort… remue le cul… il y est… bon !… Hé bien, le sens-tu ?… Je souffris un peu quand cette machine m’entra dans le con, sœur Prudence l’avait fait tailler sur le sien qui pouvait passer pour une porte cochère. Après bien des secousses, il put pourtant pénétrer ; je sentis alors toutes mes parties chatouillées à l’excès, la sœur me voyant fort animée, passa la main derrière elle, lâcha tout à coup le ressort ; le lait se mêla par ce moyen avec la liqueur spermatique, qui, sortant à toutes deux

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