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Page:La belle Cauchoise, 1788.djvu/98

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que j’étais si exactement au milieu de ces deux hommes, la main droite au cul de l’un et la gauche au cul de l’autre et en enfonçant le doigt dans le trou de chacun de mes fouteurs, je leur faisais mettre leur vit jusqu’à la garde dans les deux miens.

Le second tableau fut bien différent du premier. Un nouveau jeune homme vint ensuite se mettre sur les rangs avec encore un enculeur, tandis que les deux sortant m’exploitaient en même temps sous les aisselles.

En voilà donc déjà deux qui ont la vérole. Restait un troisième.

On passa une heure à causer au coin du feu pour nous reposer. Enfin après bien des compliments et des commentaires sur la vénérable fouterie, on résolut unanimement ce qui suit :

Un fouteur en cul sous moi, un fouteur en con sur moi, deux autres me mirent leur engin dans les mains, que j’avais étendues. Le cavalier auquel je devais la satisfaction de posséder tous les autres, vint mettre ses couilles sur ma bouche, tellement qu’en les léchant et en les suçant je fis précipiter son foutre sur mes