tétons, tandis que de sa langue il accrochait,
dardait la mienne, ou pour mieux
dire, suçotait celle de mon fouteur en con
qui, appuyé sur ses coudes, empoignait
d’une main le vit de celui-ci qu’il introduisit
entre mes tétons, qu’il comprimait
de l’autre main l’un contre l’autre, en lui
formant ainsi un con postiche, à chaque
instant un déluge de foutre nous faisait
nager dans un océan de volupté.
C’est ainsi que j’eus cinq vits sur le corps, et je fus si bien foutue que je fus obligée de crier merci.
Après cette fouterie chacun se taxa de bonne grâce à donner un louis pour moi, et six francs pour le feu et le vin : en tout 80 francs par tête.
Deux jours après cette fine partie, qui me mit si bien à l’aise, je reçus de celui qui m’avait procuré toute cette pratique un billet ainsi conçu :
« Il n’est pas prudent pour vous, mademoiselle, de rester où vous êtes : Vous devez en savoir les raisons : Y a-t-il ou non du fondement ? Évitez par une fuite précipitée ce qu’une vengeance assez juste