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LETTRES 1881-1882

J’ai pris le parti de ne plus composer que des poèmes d’un vers. En voici quelques-uns :

I

Elle avait un cœur d’or, mais était un peu dinde.

II

Les œillets panachés qu’elle m’avait donnés… (bis)

III

Mon cœur ouaté de nuit ne bat plus que d’une aile.

IV

Dans la paix d’or des soirs, elle chantait des choses.

Qu’en dites-vous ?

Combien gantez-vous ?

Au revoir.

Aussitôt à Paris, je sonne chez vous frénétiquement.

Votre
Jules Laforgue.