supposer de nouveau, au lieu des équations
et ensuite
d’où, par des opérations analogues à celles qui ont été pratiquées ci-dessus, on parviendra aux formules suivantes :
qui donnent les mouvements des particules composés de trois mouvements simples, analogues chacun à celui du no 60 ; d’où il s’ensuit que l’isochronisme n’y aura lieu que lorsque les quantités qui expriment trois valeurs quelconques de seront toutes commensurables entre elles.