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COMMENTAIRE


DE LA TRENTE-TROISIÈME MÉDITATION




Ces strophes jaillirent de mon cœur, et furent écrites un matin, au pied de mon lit, par un de mes amis, M. de Montchalin, qui me soignait comme un frère dans une longue et dangereuse maladie dont je fus atteint à Paris en 1819.

M. de Montchalin vit encore, et je l’aime toujours de la même amitié. J’aurais dû lui dédier ces vers.