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Page:Larguier - L'an mille, 1937.djvu/163

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CHAPITRE V


UN SANG PUR…


Le lendemain, ayant l’impression de s’éveiller sans avoir dormi, il était plus tôt que de coutume dans son cabinet, mais Hélène Danglars classait déjà des dossiers sur sa table.

Elle avait, sans doute, passé une aussi mauvaise nuit que Dominique Dorval.

Il lui prit les mains :

— Comme tu es brûlante ! dit-il, je suis sûr que tu as la fièvre…

— J’ai mal dormi, avoua-t-elle, je ne suis pas très bien.