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Page:Le Nismois - L’Armée de volupté, 1900.djvu/103

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à sucer, elle lui prêtait encore plus gentiment son cul à peloter, il apercevait sa maîtresse Lucie darder sa langue fine et rosée entre les cuisses de la capitaine, il soupira, Lucie se tourna de son côté, le déculotta, et lui baisa le bout de la queue. Héloïse s’étirant dit :

— Voulez-vous avant de partir, ou faut-il attendre ?

— Je crois qu’il attend depuis assez longtemps. Tiens, aide-moi à quitter ces jupes, il va me prendre, mais rien qu’une fois, tu entends, Émile, et nous nous sauverons.

— Oh, ma Lucie, ma Lucie, tu consens s’écria-t-il en revenant promptement à la jeune femme et aidant la comtesse à dégrafer la robe, je t’obéirai en tout, oui, oui, une fois, c’est le ciel.

— Habille-toi, Héloïse, et ne nous regarde pas.

— Ne pas vous regarder, ce serait par trop bête, vous me semblez aussi épris l’un que l’autre, et votre unité appartiendra à la légende, si j’en juge à vos vaillantes dispositions. Oh, que tu es belle, vue ainsi ! quel malheur que vous ne