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Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/112

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Nous fûmes quelque temps sans pouvoir proférer une parole. Le pasteur se releva le premier, et sans retirer sa pine du délicieux orifice où elle était engloutie, il nous fit voir par la manière dont pendait sa tête, que ma tante lui avait enlevé toute sa raideur. Il fit aussi lever ma tante, mais je sentis par les palpitations et les pressions de son con, quand elle se leva, qu’elle n’aurait pas demandé mieux que de soulager encore une fois la raideur qui pourrait arriver encore. Ma pine sortit en faisant un bruit semblable à celui d’un bouchon tiré d’une bouteille bien bouchée. Cependant elle était bien plus molle qu’avant, quoique encore pas mal grosse.

Quand ma tante fut debout, elle se baissa en avant, l’embrassa, la prit dans sa bouche et la suça des plus amoureusement, disant combien elle serait ravie de me soulager chaque fois que je serais gêné par sa raideur.

Ils me dirent de me lever et de m’habiller afin de les rejoindre pour déjeuner. Ils se retirèrent alors pour achever leur toilette.

Je restai quelques minutes à rêver aux délicieux événements qui venaient de se passer et fus amusé par la dernière remarque de ma tante, qui semblait persuadée que j’étais ignorant des véritables faits de ce qui avait eu lieu. Je résolus d’agir comme s’il en était vraiment ainsi.

Nous nous retrouvâmes au déjeuner, ma tante m’embrassa très amoureusement. Je la remerciai pour m’avoir soulagé de ma peine d’une manière