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Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/39

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prochaine occasion, d’être un peu plus maître de moi et de ne pas la faire souffrir autant.

Nous renouvelâmes plusieurs fois ces séances de flagellation, mais plus modérément, suffisamment pour nous exciter sans faire souffrir le patient, qu’il fût l’un ou l’autre de nous.

La flagellation fut souvent ensuite le thème de nos conversations, et petit à petit je lui parlais de l’idée qu’elle avait sur les dispositions amoureuses d’Elise. Elle m’affirmait que telle était encore sa conviction. Je lui suggérai alors l’idée d’essayer et de satisfaire notre curiosité, aussi bien pour le bonheur d’Elise que pour sa propre jouissance à ce sujet.

— Je crois que vous pourriez facilement trouver un prétexte si vous le voulez.

— Oui, c’est assez facile, cette idée m’excite et je vais essayer de me satisfaire.

Je ne me rappelle plus quel fut le prétexte, mais Elise fut retenue le lendemain après-midi à quatre heures. Marie et moi nous courûmes au pavillon. Je savais que nous ne serions pas dérangés par Elise ; aussi je fis profiter Marie de tout le bénéfice de notre réunion et nous tirâmes quatre coups des plus délicieux dans toutes les positions admises dans l’entrée légitime du temple de l’amour ; car jusqu’à ce jour, je n’avais jamais pu arriver à m’introduire dans le petit orifice, qui était trop étroit pour permettre de pénétrer à ma monstrueuse pine.

Il est étrange de penser avec quelle facilité Elise