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Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/40

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me permettait de l’enculer, tandis que Marie, plus vieille qu’elle et dont les formes étaient plus développées, ne pouvait pas me laisser pénétrer dans son petit trou du cul. Quand vint la nuit, j’étais impatient de savoir comment ma chère maîtresse s’en était tirée avec Elise. Elle me raconta qu’Elise avait été nerveuse pour commencer, mais qu’elle lui avait parlé gentiment, lui disant que sa bonne conduite, après sa première fessée, lui avait acquis son affection, que cette fois-ci elle serait moins sévère que la première fois, mais qu’elle devait supporter la punition.

— Venez donc, ma chère fille, faites comme moi, enlevez votre robe, de manière à ne pas la chiffonner.

Voyant qu’Elise tremblait encore un peu après avoir quitté sa robe, elle la prit dans ses bras et l’embrassant tendrement, lui dit de n’avoir pas peur, qu’elle ne la punirait pas beaucoup.

— Relevez vos affaires, ma chère, et laissez-moi voir s’il reste encore des marques de votre précédente punition.

Elise avait un derrière très proéminent et qui promettait. Miss Frankland le caressa de partout et louangea beaucoup ses formes et sa fermeté, disant qu’il était superbe à voir et ressemblait déjà à un derrière de femme.

— Tournez-vous et laissez-moi voir si le devant est déjà formé aussi comme celui d’une femme. Ma parole, la motte est bien formée et déjà couverte d’une légère mousse.