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Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/33

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la remercier pour me permettre de faire sentir à d’autres les jouissances exquises de ma pine. Elle ramassa sa robe et me laissa m’habiller.

Je descendis bientôt à mon tour et rejoignis Ellen qui me regarda comme si elle n’attendait qu’une occasion pour se faire foutre de suite. Mais après les combats que je venais de livrer tant avec elle qu’avec ma tante, et malgré la manière dont je m’étais retenu avec cette dernière, je ne me décidai pas à rien faire pour arriver à cette conclusion, surtout parce que je me proposais de passer la nuit avec elle.

Aussi lui assurant que nous nous ferions sûrement surprendre et que nous perdrions par notre imprudence les chances de la nuit, elle se trouva satisfaite et resta tranquille et raisonnable.

Ma tante entra et nous passâmes l’après-midi à causer de choses et d’autres et à nous promener dans le jardin.

Après dîner je m’endormis profondément sur le sofa. Les deux femmes, chacune pour la même raison, me laissèrent à mon profond sommeil et ne me réveillèrent que lorsqu’il fut temps de se retirer. Ainsi reposé, je me trouvais tout dispos pour le travail qui m’attendait.

Je laissai passer une demi-heure, attendant que tout le monde dans la maison fût retiré dans leur chambre à coucher, puis, enfilant une large robe de chambre, je me glissai doucement vers la chambre de ma chère Ellen, j’ouvris la porte et j’entrai.

Elle était déjà couchée, impatiente de me voir