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Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/34

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arriver ; elle avait laissé les deux bougies allumées et un bon feu donnait aussi une éclatante lumière. Je retirai ma robe de chambre et me précipitai aussitôt complètement nu dans ses bras impatients de me tenir. Nous étions tellement en chaleur tous deux que le premier coup fut tiré à la volée ; il fut suivi d’une langueur de satisfaction et d’une étreinte encore plus prolongée et enivrante.

Après nous être pénétrés de bonheur pendant un certain temps, nous nous levâmes ; je fis mettre Ellen devant le feu pour repaître ma vue de ses jeunes charmes. Les poils de son con étaient devenus plus longs et mieux fournis, ses tétons aussi s’étaient développés, même ses hanches et ses fesses paraissaient avoir grossi, grâce probablement à tous les arrosages qu’elle avait reçus depuis la première fois où je l’enfilai, ce qui naturellement devait la former comme une femme.

Cette inspection de ses charmes se développant, m’excita énormément et je voulus la foutre sur le tapis devant le feu. Afin de jouir davantage, j’approchai une psychée, dont je penchai la glace en avant, la dirigeant jusqu’à ce qu’elle puisse refléter le jeu du derrière d’Ellen pendant que j’allais la foutre.

Je m’étendis sur le dos, et la faisant mettre à genoux avec ma tête entre ses cuisses à portée de son con, je la gamahuchai jusqu’à ce qu’elle fit couler deux fois sa précieuse liqueur. Elle se pencha alors davantage jusqu’au dessus de ma pine qui était raide et frémissante de désirs. J’en guidai