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Page:Leconte de Lisle - Derniers Poèmes, 1895.djvu/165

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TROISIÈME PARTIE.

KRÉOUSA.

                    Mon enfant ! ô ma douce lumière,
Charme et vivant reflet de mon aube première,
Qui resplendis dans l’ombre où je me consumais,
Rien, rien ne pourra plus nous séparer jamais !

Ils restent embrassés. Le Chœur des femmes entre précipitamment.