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Page:Leroux - Le fils de trois pères, Baudinière, 1926.djvu/435

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chercher ici. Dans celle-ci, se trouveront deux personnes. Vous ferez tout ce qu’elles vous diront. Vous, madame, vous resterez ici… Vous aurez des devoirs à remplir à la suite du grand malheur qui vous frappe… À bientôt Titin !

M. Ordinal, après s’être incliné devant la princesse, tendit la main à Titin :

— Sans rancune ?

— Si ! fit Titin, avec rancune, mais je vous serre la main tout de même ! à vous aussi, mon Vieux Souques !

— Moi aussi, fit Souques, avec rancune : Naples !

Titin ne put s’empêcher de rire à cette évocation tintamarresque du voyage forcé.