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Page:Leroux - Les Étranges Noces de Rouletabille, 1918.djvu/173

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DE ROULETABILLE
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mystère, je vous le renvoie vide ! Mais je conserve par devers moi tous les papiers que j’ai trouvés dans le tiroir secret. Je vous les garde intacts, dans leurs enveloppes et avec leurs cachets, persuadé que vous aurez une grande joie à les venir chercher vous-même. Je vous attends d’ici le 27 octobre au plus tard à Dédéagatch. »

À cette lecture, Rouletabille éclata d’un furieux éclat de rire qui faisait bien mal à entendre.

— Trop tard, le tonnerre ! s’écria-t-il.

— Oui, dit simplement Ivana, et elle rentra dans sa chambre.

— Alors elle ne s’en va pas ! On peut ouvrir la porte, les fenêtres… s’écria joyeusement La Candeur. Tu me pardonnes, Rouletabille ?

— Non ! répondit Rouletabille.