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Page:Leroux - Les Étranges Noces de Rouletabille, 1918.djvu/319

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DE ROULETABILLE
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et reprit le chemin qu’il avait fait avec La Candeur.

Cependant au pied du mur qu’il avait à franchir il laissa sous une pierre tous ses impedimenta.

Enfin, il parvint dans les couloirs de Durdané et, en approchant du jardin d’hiver, commença d’entendre un clapotis qui n’était pas ordinaire…

Une minute après il était dans les bras de La Candeur, lequel l’avait cru mort et qui, pour la sixième fois, venait de plonger dans la pièce d’eau à la recherche de son chef de reportage.

Nous renonçons à décrire la stupéfaction et la joie désordonnée du bon La Candeur.

— C’est drôle, dit-il à Rouletabille ; quand il fut un peu remis de ses émotions et qu’il eut retrouvé sa voix, c’est toi qui es allé te promener sous l’eau et c’est moi qui suis mouillé !…