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Page:Les Amours, galanteries et passe-temps des actrices, 1833.djvu/18

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est ainsi faite, qu’elle aimerait mieux médire d’elle-même que de se taire. Ainsi, tandis que ces messieurs discouraient politique ces dames raisonnaient amour, et bientôt il fut convenu que chacune ferait sa confession de l’occasion de sa vie galante, où elle aurait eu le plus de plaisir et ce fut à la Bourgoin que fut dévolu l’honneur de parler la première, comme étant la doyenne de ce petit comité, elle ne se lit pas prier et commença ainsi :