Aller au contenu

Page:Les Sérails de Londres, 1911.djvu/121

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

102
LES SÉRAILS DE LONDRES

dents enchanteresses ; dites-moi, si l’ensemble de tant de perfections peut possiblement inspirer une tendre passion.

(M. Men...z fut tout à fait étonné de cette demande).

M. Men...z Eh bien ! Madame, permettez-moi de vous rappeler le proverbe vulgaire, mais véritable, que les petits chiens ont de longues queues.

Signora G..... De longues queues !

Oh ! cela est ridicule de longues queues ! Ha ! ha ! ha ! Eh bien ! M. Men...z, fussiez-vous toute queue, elle ne seroit pas moitié assez longue pour moi.