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Page:Les Sérails de Londres, 1911.djvu/234

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LES SÉRAILS DE LONDRES

comte P...y. Cependant elle cacha prudemment son ressentiment et feignit la plus intime amitié pour Lucie ; elle lui dit que son plan n’étoit plus un secret ; elle lui demanda qu’il existât entre elles deux la plus parfaite cordialité, et que si elles agissoient ensemble de bonne intelligence, elles pourroient s’assurer, sinon la totalité, au moins la plus grande partie des meilleures pratiques de la capitale. Lucie fut aise de voir Madame Dubery établir entre elles une correspondance amicale ; elle souscrit volontiers à la proposition de cette dame. Nous aurons occasion de visiter Lucie dans sa nouvelle habitation, en attendant nous pensons que l’historiette suivante ne sera pas désagréable à nos lecteurs.