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Page:Les Stances érotiques, morales et religieuses de Bhartrihari, 1875.djvu/130

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NOTES.

tance et toute attribution précise au profit de la trinité.

(6) Cette stance, ainsi que quelques autres, paraît avoir accompagné primitivement un dessin auquel elle servait d’explication.

(7) Nous avons ici l’exemple d’un double sens continu ; c’est un jeu d’esprit que nous retrouverons assez souvent, dans la stance suivante, par exemple.

(8) La licence grossière de cette stance ainsi que celle de la stance dix-neuf m’en a fait supprimer la traduction.

(9) Comparer avec les diverses stances, relatives, comme celles-ci, aux saisons de l’Inde et aux agréments propres à chacune d’elles, le petit poème descriptif de Kâlidâsa, intitulé Ritu-Sanhâra ou le Cercle des saisons.

(10) Le kokila est le coucou de l’Inde.

(11) Chaîne de montagnes du Malabar, où croît le bois de sandal.

(12) Nom d’un mois de printemps, le cinquième de l’année indienne.

(13) Dans la nomenclature scientifique, le kutadja est appelé wrightia antidysenterica et le kadamba, nauclea kadamba.

(14) Musa sapientum.

(15) Pandanus odoratissimus.

(16) Voir pour l’intelligence complète de cette stance et de toutes celles du genre philosophique et religieux mon Étude sur les poètes sanscrits, Bhartrihari, les Centuries. Paris, Maisonneuve et Cie, 1871.

(17) Divinités mythologiques d’ordre inférieur, épouses des Gandharvas ; elles ont été souvent comparées aux nymphes de la mythologie classique et, comme on le voit, elles ne sont pas non