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Page:Lettres portugaises, éd. Piedagnel, 1876.djvu/41

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PREMIÈRE PARTIE

l’état insupportable où je suis ; cependant je vous remercie dans le fonds de mon cœur du désespoir que vous me causez, et je déteste la tranquillité où j’ai vécu avant que je vous connusse. Adieu ; ma passion augmente à chaque moment. Ah ! que j’ai de choses à vous dire !