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Page:Londres - L’Homme qui s’évada, 1928.djvu/235

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bons sur un commandant timide, il vous boucle pendant toute la traversée.

— Eh ! cela n’empêchera pas que je sois innocent !



Alors, nous nous promenâmes dans Rio de Janeiro… assez longtemps.

Un soir, il m’arrêta place Floriano, parce qu’au quatrième étage, une bande lumineuse déroulait les nouvelles du vaste monde.

— Continuons notre chemin, cela n’est pas passionnant.

Il restait immobile, le nez en l’air.

— Qu’attendez-vous ? L’annonce de votre grâce ?

— Pas même, mais il faut voir les dépêches de Paris, il y en a.

Les dépêches de Paris apparurent. Elles ne valaient pas qu’on s’arrêtât. Je le lui dis :

— Pour vous, c’est possible, mais c’est un