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Page:Lorrain - Les fleurs poétiques, simples bluettes, 1890.djvu/111

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Roses et Marguerites.

II
Sourde à toute parole
Corinne tristement
Penche son front charmant
Et rien ne la console…

Toujours l’âpre chagrin
Dont sa jeune âme est pleine
Comme une froide haleine
Flétrit son front serein.