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Page:Lorrain - Les fleurs poétiques, simples bluettes, 1890.djvu/112

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Les Fleurs poétiques.


Et la pauvre Corinne
Ne sait plus que souffrir,
Et bientôt pour mourir
La voilà qui s’incline…
III
On trouva sur son cœur
Une lettre d’Adèle :
— « Corinne, disait-elle,
Ô Corinne ! ma sœur,