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Page:Lorrain - Les fleurs poétiques, simples bluettes, 1890.djvu/141

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LE VILLAGE NATAL

Le soleil du printemps avait ouvert la rose,
Qui mêlait ses parfums à ceux des résédas ;
L’humide primevère était alors éclose ;
La brise s’imprégnait des senteurs du lilas.
Qui mêlait ses parfums à ceux des résédas ;