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Page:Lorrain - Les fleurs poétiques, simples bluettes, 1890.djvu/189

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À LIGURINUS

IMITÉ D’HORACE

Jusqu’ici ta beauté soutint avec honneur
La fierté de ton cœur.
Mais bientôt, quand la grâce et la verte jeunesse
Fuiront pour faire place à la triste vieillesse ;
Mais bientôt, quand ton front, si frais et si vermeil,
À la rose pareil,
Sera couvert de rides,