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Page:Loti - L’Horreur allemande, 1918.djvu/128

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confortable et propret, qui est encore ouvert. On y sent le mauvais goût allemand, mais nous y sommes accueillis par de gentilles hôtesses blondes, qui sont déguisées en Tyroliennes comme au temps où il fallait exploiter la bêtise des touristes, et qui ont l’air de se préparer à chanter un opéra-comique de 1830.