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XXXI
14 février.
Cette grande pagode du Cheval de Jade où j’allais si souvent jadis, à la splendeur étoilée des nuits de juillet, et qui est cause aujourd’hui de mes stations chez madame Ichihara, elle a pris un air de vétusté, d’abandon, elle me fait l’effet d’avoir vieilli, depuis quinze ans, de deux ou trois siècles. Les immenses marches de granit, les escaliers de Titans qui y conduisent, à mi-montagne, je me souviens d’y être monté jadis, aux musiques, aux lanternes, aux milliers de lanternes étranges, presque porté par des foules qui se rendaient en pèlerinage. Aujour-