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Page:Loti - La troisième jeunesse de Madame Prune, 1905.djvu/222

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soir aussi blême. Et le grand néant de la mer, comme cette fois, m’enveloppait de sa paix funèbre.

Je m’en allais avec moins de mélancolie, — sans doute parce que la vie était encore en avant de moi dans ce temps-là, tandis qu’à présent elle est plutôt en arrière…