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Page:Loti - La troisième jeunesse de Madame Prune, 1905.djvu/262

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remis lors de notre dernier voyage, voici qu’il nous inquiète de nouveau ; lui qui, à la fin de l’hiver, avait retrouvé son bon air de gaîté — et ne manquait jamais, quand je rentrais à bord, de s’informer, sur différents tons impayablement graves, de la santé de madame Prune, — on ne l’entend plus plaisanter ni rire ; les plis de lassitude et de souffrance ont reparu sur sa figure.