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Page:Loti - La troisième jeunesse de Madame Prune, 1905.djvu/322

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qu’elle tire on ne sait comment du fond de son gosier menu. Une voix qui, parfois, tourne, se dérobe en son de petite flûte, en fausset de petit enfant, — et c’est alors qu’elle est le plus adorablement impayable, ma sérieuse tragédienne.