connues et les plus jolies, avaient été conviées à une collation fort brillante que leur offraient les officiers.
Rarahu en mon absence avait accepté d’y prendre part. — Elle était là, en compagnie de Téourahi et de quelques autres de ses amies ; elle avait essuyé ses pleurs et riait aux éclats.
Elle ne parlait point français, comme la plupart des autres ; — mais, par signes et par monosyllabes, elle entretenait une conversation très animée avec ses voisins qui la trouvaient charmante.
Enfin, — ce qui était le comble de la perfidie et de l’horreur, — au dessert, elle avait avec mille grâces offert son tiaré à Plumkett.
Elle était assez intelligente, il est vrai, pour savoir qu’elle tombait bien, et que Plumkett ne voudrait pas comprendre.
XXVII
Comment peindre ce site enchanteur, la baie d’Afareahitu !
De grands mornes noirs aux aspects fantasti-