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Page:Loti - Le désert, 1896.djvu/224

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Et l’autre appelle toujours : « Hou ! hou ! » Alors, nous revoyons le regard de reproche des deux yeux jaunes enfouis dans le sable et nous oublions les histoires de brigands qui nous captivaient, l’escarmouche désirée, tout ce qui nous amusait, en écoutant, avec un serrement de cœur, ce pauvre cri d’oiseau solitaire…