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Page:Loti - Le désert, 1896.djvu/274

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silencieux de leurs dromadaires qui commence, dans des rayons d’argent rose. Du haut de leurs grandes bêtes oscillantes, les cheiks Hassan et Aït, qui passent, nous envoient un dernier geste amical ; ils s’en retournent vers la terre épouvantable où ils sont nés et où ils aiment à vivre, — et leur départ met fin à notre rêve de désert.

Demain matin, au jour levé, nous monterons vers Jérusalem !…

FIN.