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Page:Loti - Roman d’un enfant, éd. 1895.djvu/207

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LE ROMAN D’UN ENFANT

seau, des chevauchées d’hommes d’armes, ou des cortèges de nobles châtelaines en hennin… Et, pour moi, élevé dans les plaines unies, un des plus singuliers charmes de ce lieu était ce grand vide bleuâtre des lointains, qu’on apercevait par toutes les ouvertures, meurtrières, trous quelconques des appartements ou des tours, et qui, tout de suite, me donnait le sentiment si nouveau des excessives hauteurs.