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Page:Lyndamine ou l’Optimisme des pays chauds, 1875.djvu/143

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Il m’a d’abord fait chatouiller tout ce qu’il a entre les fesses, et pendant ce temps-là il ouvrait ma petite fente ; ensuite il a essayé d’y mettre sa cheville, et ce n’est qu’après bien des secousses qu’il a réussi.

— Cela t’a-t’il amusée ? dit la maman.

— Non pas d’abord, répondit-elle, car j’étais tout en sang ; mais après, cela m’a tant fait rire que je n’ai pas eu la force de l’arrêter. Il s’est tant enfoncé que son ventre était collé sur le mien.

— Eh ! dis-moi, ai-je repris, ne te l’a-t-il fait qu’une fois ?

— Pardonnez-moi, répond l’innocente, deux fois ; mais fi ! cela ne valait pas la première.

— C’est assez, dit alors la maman ; approche, Baisecul, de ces demoiselles afin qu’elles te visitent.

Nous fûmes très contentes de voir d’assez gros tétons, qu’un bouton de rose commençait à surmonter ; ses fesses se rejetaient déjà assez en arrière pour nous faire prédire que la place serait vigoureuse. La rondeur et la fermeté de ses cuisses, le faible duvet qui déjà ombrageait de belles lèvres, le superbe œillet qu’elle n’avait pas encore prodigué, tout cela nous engagea à la recevoir.

On lui lut l’ordonnance en plein chapitre ; on l’instruisit de ses devoirs et de ses droits, et la cérémonie fut terminée, selon la rubrique, par un petit hommage au cul des demoiselles, qu’elle embrassa modestement. Elle fut ainsi renvoyée à son poste.

Plusieurs semaines se passèrent si solitairement que