Aller au contenu

Page:Mérimée - La Double méprise, 1833.djvu/229

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

se voyait enfin malheureuse à jamais, attachée pour la vie à la destinée d’un homme qu’elle haïssait et qu’elle méprisait, tandis que celui qu’elle trouvait le plus aimable du monde, celui qu’elle aurait voulu charger du soin d’assurer son bonheur, devait demeurer toujours un étranger pour elle. Il était de son devoir de l’éviter, de s’en séparer… et il était si près d’elle que les manches de sa robe étaient froissées par le revers de son habit !

Darcy continua quelque temps à peindre les plaisirs de la vie de Paris