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Page:Mérimée - La Double méprise, 1833.djvu/67

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Perrin trouvait tout simple qu’un mari parlât des jambes de sa femme : aussi, quand il fut seul dans la rue avec Châteaufort, il lui dit d’un ton pénétré : — « Comment vous sentez-vous le cœur de troubler un si bon ménage ? il aime tant sa petite femme ! »