Page:Madeleine - L’Idylle éternelle, 1884.djvu/146

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Que la valse s’anime ou qu’elle s’alentisse,
Ton parfum doux murmure alors un chant factice
Où tu mêles encor ton primitif accent.
 
Et j’aime à respirer, moite et fade, ton âme,
Lorsqu’à la fin des nuits, dans le bal languissant,
Tu te meurs lentement entre deux seins de femme.