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Page:Madeleine - L’Idylle éternelle, 1884.djvu/80

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L’âme émue, ô douceur secrète
De l’amoureuse que j’attends !
Plein d’espoirs encore hésitants,
Parmi des chansons de fauvette,
J’ai cueilli l’exquise fleurette.