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Page:Madeleine - L’Idylle éternelle, 1884.djvu/81

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CANTIQUE


Avant les douces floraisons
De nos amoureuses roses,
J’ai rimé pour tes seins roses
De délicates chansons.

Et quand elles seront fanées,
J’aurai pour tes trahisons
De douloureuses chansons,
Requiems des hyménées.