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Page:Magre - La Tendre Camarade, 1918.djvu/108

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LA TENDRE CAMARADE

très malheureux dans leur atmosphère. Ainsi, il y a des jours d’orage où l’on regarde le ciel et on le voit très clair et très pur avec une légère buée pourtant qui ne fait qu’ajouter à sa beauté. Quelques instants passent, on relève la tête et on s’aperçoit que le ciel, naguère si bleu, est épais et chargé de nuages.

Je voudrais que mon bien-aimé me prenne vite dans ses bras pour être bien sûre d’étreindre mon bonheur.