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Page:Magre - La Tendre Camarade, 1918.djvu/122

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LA TENDRE CAMARADE

Mon regard croisa celui de la concierge et, sans m’adresser la parole directement, parlant plutôt aux choses et aux dieux, elle exprima sa pensée principale :

— Le malheureux n’avait donc pas de concierge ?

Puis, l’indignation remplaçant la pitié, elle reprit :

— Ou, alors, cette femme est une misérable de l’avoir laissé partir tout seul.