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Page:Magre - La Tendre Camarade, 1918.djvu/126

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LA TENDRE CAMARADE

et une nuits qu’est le cimetière de Saint-Ouen. Et sans que je me demande nettement quel pouvait être celui que j’accompagnais, une image vint à ma pensée, une image que mon imagination ne créait pas et qui me semblait presque avoir la réalité d’un souvenir.

Le cocher se hâtait, et je marchais à grands pas dans une immense allée de marbre et de cyprès.