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Page:Magre - La Tendre Camarade, 1918.djvu/148

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LA TENDRE CAMARADE

dégoût l’idée d’avoir été trompé. Je l’aimais moins. Elle m’aima davantage. Je m’attachai avec force à ce devoir de perfectionner l’âme de la créature instinctive, malgré l’amertume qui y était pour moi désormais mêlée. Et ce fut là le point culminant de ma bonne action, je veux dire de ce que je croyais être une bonne action.